« Il est un dragon des plus étrange, la sorte de dragon que vous ne voyez qu’une seule fois dans votre vie. La sorte de dragon qui vous est imposant, inquiétant, étrange. Vous ne pouvez croire à son corps entièrement fait de métal, à ses nombreux mètres d’armures qui semble pourtant être naturelles à ce dragon. Des cuirasses dorées et grises, visibles de loin lorsque le soleil luit, lui appartiennent. Ses grandes ailes sont impressionnantes, mais ne vous fiez pas aux apparences ; son corps métallique est trop lourd, il ne peut le porter en volant. Il n’a pas de bouche, pas de sourcils, détecter ses sentiments est quelque chose de très difficile. Il ne reste plus qu’à vous fiez à ses yeux bleu marin pour connaître ses émotions… Si vous n’êtes pas, avant, perturbé par l’interminable bruit de son rouage, au torse, cet interminable bruit qui lui a valu son surnom…
Tic-Tac. »


Je vais vous raconter une histoire. Une histoire étrange, peut-être au-delà des limites du réel. Il était une fois, lors de la magnificence présence de Malefor, un singe qui se voulait reconnu de tous. Ses semblables le respectait et l’aimait, il attirait même certaines jalousies, tout au plus. À ce singe, il ne restait plus qu’une chose à faire : conquérir le cœur de Malefor en lui inventant quelque chose de miraculeux, splendide, unique. Pendant plusieurs années, il s’attela à la tâche. Il s’installa non loin du volcan, où la chaleur lui était favorable pour son œuvre. Pendant plusieurs années, il construisit, façonna, créa. Enfin il eut fini, la fournaise du volcan était devenu son élément, il ne pouvait plus la quitter, et appela des renforts pour livrer son œuvre au grand Malefor. Il lui avait construit une armure, très solide, qui pourrait protéger le dragon violet de nombreuses agression. Lorsque les renforts appelés arrivèrent, le singe dû faire face à une mauvaise nouvelle : Malefor avait été vaincu par le nouveau dragon violet, Spyro. Fou de rage, le singe de décoléra pas. Son armure était devenue inutilisable, puisqu’il croyait Malefor mort. Il décida d’améliorer cette armure pour en faire une machine de guerre, pour détruire Spyro, pour se venger. Des jours passèrent, l’armure était devenue un dragon robot, programmé pour tuer le jeune dragon violet. Mais ce jour-là, un malheur arriva. L’éruption du volcan se fit plus violente. Appelant ses renforts, le singe leur demanda de trouver un endroit secret où cacher son arme de guerre. Ils purent partir avec. Le singe ne survécu pas à l’éruption.
Les renforts, sous la demande de leur chef, allèrent cacher la machine dans les catacombes, un endroit où très peu de dragons osaient aller. Ils ne savaient pas à quoi elle servait, ne savait pas quel était son but, et, à la limite, ne savait pas ce que c’était. Ils repartirent en l’abandonnant là, se souciant peu de son utilité. Depuis ce jour, le robot attend. Et espère que quelqu’un le trouvera ici pour lui indiquer ce qu’il a à faire…

Même étant une machine complètement fabriqué, elle n’en possède pas moins une personnalité. Plutôt calme, Kyroïzoph n’est pas quelqu’un qui tape n’importe qui à tout bout de champs. La colère, la tristesse, ce n’est pas trop son affaire. En même temps, il n’a pas encore eu le temps de connaître l’un ou l’autre de ces deux sentiments…
Contrairement aux apparences, ce dragon connait beaucoup de choses tout en étant assez ignorant sur les autres choses plus importantes de la vie.