Au loin, l'azur semblait se couvrir de nuages épais et gris, n'anonçant qu'une pluie orageuse. Shirou voyait cela, ce qui la désola. Elle décida de partir seule dans la forêt. Le soleil était peu visible, coupé par des nuages, mais la vue de Shirou lui permettait de le distinguer des nuages, et il était au centre du ciel, et donc signait midi. Shirou soupira tristement. Le matin avait été fort clément; elle s'était levée aux aurores, et s'était prélassée devant le soleil, en s'amusant avec une matière fine et blanche appelée neige, elle ne savait pas ce que c'était, elle n'en avait jamais vu; mais le tonnerre se péparait à frapper, rien de tel pour gacher la journée, de plus, Shirou détestait la pluie. Quel que soit la situation, en temps de pluie, elle sentait le rejet, l'abbandon de son être, elle savait son âme se couvrir de trstesse. Seule. Aimait-elle sa nouvelle vie? C'est vrai. Parfois, elle se demandait si ça valait la peine de faire tous ces sacrifices, parfois elle pensait que oui, parfois elle regrettait. Elle creusait et cherchait de la végétation, car son statue de Subterra appliquait également un statue d'herbivore et plus de carnivore, bien qu'elle n'aurait pas refusé une bonne viande. Elle se disait qu'un jour, elle tuerait du dragon quand il l'attaquerait, et elle le mangerat... Mais non. Aprèqs tout, pourquoi un dragon l'attaquerait. C'était également une lubie qui lui donnait encore plus faim. Donc, elle finit par trouver un fin carré d'herbe, dont elle se nourrit. C'était fade et gelé, mais elle n'avait pas le choix.

Inutile de dire qu'elle tombait souvent malade, à force que "manger" de la neige sale. Mais l'hiver est rude, et elle n'avait pas fait de resèrves. Vraiment, elle était irrécupérableMais peu importe, se désoler sur son sort était une perte de temps évitable. Elle continua de chercher, et considérant qu'elle était vraiment malade au troisième carré d'herbe, elle stoppa ses recherches et marcha au ras des arbres. Elle essayer d'en trouver un plus épais que les autres, tout en essayant de se réchauffer avec sa propre chaleur. Malheureusement, son souffle en restait de marbre. Elle courrut mais s'épuisa vite, et marcha, éssouflé, malade et la faim au ventre. Elle finit par trouver ce qu'elle cherchait: Un sol plaureur petit, et très épais. Il était collé aux arbres, ne lui laissant pas beaucoup de place. Shirou se réfugia sur celui-ci, et ne rentra pas tout son corps sous. Il lui restait ses pattes posterieurs sous la pluie, et du se recroqueviller pour rentrer entièrement. Elle était toute collée, mais d'un autre coté, elle se réchaufa avec sa propre chaleur, et cette fois-ci, cela marcha. Elle finit par fermer ses paupières devenues lourdes, et elle s'endormit. Lorsqu'elle s'endort, Shirou ne sent plus rien. Il aurait pu passer Tinuviel elle-même qu'elle ne se serait pas réveillée. C'était parfois une qualitée, parfois un défault. La pluie ne cessa pas, et le vent se mit à souffler puissament, ce qui dressa l'arbre en arrière, et exposa Shirou à la pluie. Elle resta profondément endormie, mais ce spectacle était désolant. Elle n'allait pas guerir de si tôt...

En dormant, Shirou à beau ne pas se réveillée par le mouvement ou le bruit exterieur, par contre, si on la touche, elle se reveille. Pas à tous les coups, mais ça se peut. De plus, c'est une très mauvaise idée de lui attacher quelque chose, car elle se réveille d'autant plus vite. Et oui, son système est très bien. Ainsi, elle peut dormir tranquillement, et se réveille en alerte si l'ont excerce une trop forte pression sur elle, par exemple, si on l'attaque, elle se réveillera à tous les coups. Mais cette fois-ci, Shirou était en proie à un génie qui voulait s'en servir de cobaye. C'est une mauvaise idée, car c'était un peu comme un 50/50.

Le petit dragon lui attache un étrange objet d'acier électrique. Pour Shirou, qui était endormie, c'était un pile ou face, ou plutôt un quitte ou double. Si elle se réveillait, le dragon subirait sa colère, ou bien autre chose, si elle est de bonne humeur. Si elle ne se réveillait pas, le dragon s'en sortirait sans encombre et rien ne se serait passé pour Shirou. Car, elle n'est pas très attentive, ce n'est pas un genre de dragon a remarquer une écaille blanc sur des noires, non. Elle, elle s'en fiche totalement. On va dire, qu'elle est un peu sale, et ne fait jamais sa toilette. Ainsi, l'objet pourrait rester une éternité jusqu'à ce qu'on lui face remarquer qu'elle le porte.

Cette fois-ci, elle ne se réveilla pas. Ce fut certainement une simple chance pour le dragon. Ainsi, quelques heures plus tard, elle ouvrit les yeux. Elle s'étira, ne sentant rien d'anormal et se mit à marcher. En fait, elle constatait surtout que la pluie s'était stopée. L'azur était teinté d'un bleu brillant, et le soleil, malgré tout un peu faible, s'était lourdement dréssé dans le ciel. Il allait vers l'Ouest. La journée était déjà pas mal avancée. La dragonne soupira faiblement. A peine sentit-elle la nouvelle odeur qui la suivait tout le temps. Elle pensa à un animal. Elle ne s'en préoccupa point. Elle décida de s'amuser à "chasser" les oiseaux qui passaient par la, et tout d'un coup, elle sentit un frottement métallique.

Dès qu'elle l'eut sentit, cela la perturba beaucoup. Normalement, elle ne l'aurait pas sentit, cette faible odeur se melant à la sienne. Mais maintenant, elle l'avait vu. Elle était stréssée. Car, ne sachant d'ou venait cet étrange odeur, d'ou sortait un dragon, mélée à l'odeur de la forêt de Subterra, elle savait qu'un dragon l'avait touché ou quelque chose, un contact. Mais, ne pouvant determiner la source, elle fut de plus en plus inquiétée. Elle finit par s'allonger en plein millieu du bois, en posant les pattes sur la tête, se griffant presque, car elle ne savait qui la suivait. Pourtant, cette fois, lorsqu'une demi-heure passa après s'être rendue compte qu'elle avait cet odeur etrange, elle sentait quelque chose. Quelque chose d'unique. Cette chose, impossible de passer à coté. Tinuviel. Et si elle l'espionnait? Alors, forcé de retourner à Darkus devant l'immense puissance de la dragonne, elle serait executée. Shirou bouillonait de rage, et cet agacement se courrona par ses pensée si elle revenait à Darkus, elle poussa un hurlement.

- Mes sincères salutations ! Je suis navré d'importuner votre sainte petite vie foireuse de reptile sans cervelle, mais avant toute action stupide de votre part, qui consistera seulement à me faire chier.... Dorénavant c'est moi qui détiens une force de pression sur vous et à chaque fois que je vous foudroie, ce petit bijou à votre poignet se chargera de remettre vos idées en place . Si j'en abuse, il a la faculté d'exercer une force de pression qui pourra littéralement pour sectionner la patte avant. Donc à moins que tu ne souhaites finir manchot, tu ferais mieux d'entendre... Ma petite requête.

Shirou observa sa pattes. Effectivement. Il avait raison, Shirou n'avait pas le choix. Mais elle était gardienne de la forêt bong sang! Elle n'allait pas se laisser faire. Mais néamoins elle se tint bien et ne faillit pas, ne cria pas, ne demandit pas de pitié, ni d'aide ni d'autres. Elle fit tous ses efforts pour contenir la haine et la douleurs qui pouvaient jaillir à tous moments d'elle-même et attendit la "requête" du dragon. Il était plutôt petit. Mais Shirou ne douta pas de son intelligence, bien qu'elle eut impression d'avoir à faire à un dragonnets en physique, mais même sans le connaître, pour bidouiller ce genre de machin et oser lui parler comme ça, à elle, gardienne de la forêt, il lui fallait un grand cervau, le préparant aux represailles de la dragonnes.

C'était un moment terrible pour la dragonne. Son coeur battait de plus en plus fort, elle sentait que tout cela, et quoi qu'elle face, allait mal se terminer. Pourtant, elle était quelque part pouvant écouter la requête et l'accepter, ainsi elle pourrait le surveiller et empecher le dragon de nuire à d'autres dragons. C'était de loin un pari respectable. Malheureusement, Shirou était comme tous dragons : venait un moment ou les autres ne comptaient plus. Car, si elle ne se défendait pas, le dragon pouvait la maintenir toute sa vie, et cela, la dragonne ne pouvait y consentir.

- Je me nomme Syfer et j'ai besoin d'une force titanesque comme la vôtre pour m'aider à accomplir certains traqua quotidien qui m'empêche de faire correctement mon travail. J'ai peut-être la taille d'un insecte face à votre gracieuse taille... Je sais que cette situation ne doit absolument pas vous plaire, j'en suis conscient et désolé, mais vous n'êtes de taille face à moi... Hi he ha Hu ho ha He hi He ho... *rire infâme comme le Joker dans Batman* Alors à qui ai-je l'honneur ? Ou bien vous n'êtes qu'une pauvre dragonne muette dénuée de forme d'intelligence... Si c'est le cas excusé moi. Je ne comprends pas le grognement des lézards. Bon, alors, dites moi, quelle est votre réponse ?

Ce traitement infame eut dont de frustrer Shirou. Imaginer qu'il parlait ainsi aux dragons autre qu'elle lui laissait imaginer le pire. Mais ce qui la choquait était qu'il voulait son aide. Pourquoi ne pas demander plus poliement alors. Bon, d'après elle, il avait quand même l'air d'un "génie". Elle le cernait bien maintenant, et sa belle forêt forêt de Subterra n'allait pas être brisée par un simple dragon, qui plus est, de petite taille. Mais ne juge que par son apparence n'est pas une solution envisageable, car il lui avait quand même pas mentit. Il avait moyen de pression sur elle. Il pouvait en faire ce qu'il voulait.

Ainsi, la dragonne monta sa rage et sa colère au plus haut point. Toute sa sagesse la quittait en ce cours instant, et semblait bouillir et se transformer en rage et en haine envers le dragon. En instant de sagesse, elle aurait gardé son calme et aurait suivit le dragon, sachant que toute resistance sera souffrance. Mais pas maintenant. Elle ne mit pas longtemps à établir un bilan et un acte. Ainsi, elle devait prendre des risques, qui ne tente rien n'a rien. Seulement, ici, c'étai trop risqué.

Mais la rage et la colère de Shirou domina sa sagesse. Alors, jugeant ce dragon nuisible, elle s'appuya sur le sol et se jetta sur le dragon nommé Syfer, qu'elle renversa, grace à son poid, et avec ses griffes lui bloqua les épaules, et ses pattes arrière lui permaitaient de bloquer celles de Syfer.

-Bien. Ma réponse sera non, lézard.

A cet instant, elle défiait en quelque sortes Syfer. Et cela, elle allait le regretter.


HS: (Pourquoi désolé?)

(Je m'excuse pour la situation que je viens de mettre Shirou)

(J'aimerai juste que tu enlève le passage de l'odeur merci)


- Il est peut-être un peu tôt pour s'accoupler chérie... Ha moins que vous voulez me violer ! Alors dans ce cas franchement, c'est vraiment honteux de votre part et c'est si primitif... Mais c'est un délire d'avoir un contacte physique avec moi, car mon corps est comme une anguille, parce que je peux produire ce qu'on appelle "l'effet de joule". C'est-à-dire petite tête de linotte que je peux littéralement augmenter la température intérieure du corps et faire liquéfier tous les organes en quelques dizaines de secondes. Ce n'est pas une sensation très agréable quand le cerveau devient du jus de pomme qui dégouline par les oreilles... Hé hé hé.. J'en ai tué plus d'un de cette manière insouciante, qu'est-ce que j'ai ris, hu hu ... Tu peux imaginer que l'effet du bracelet n'est rien comparé à cette douleur mortelle... De plus je ne parle même pas de la vitesse dans laquelle je peux diffuser l'électricité, ce qui te causera forcément une paralysie instantané dans la seconde et qu'il te sera impossible de me décrocher ou de me croquer, en bref... Tu es dans un sacré bourbier.

-C'est une réaction pueril mon cher, je suis déjà en couple et tu ne m'interesse pas physiquement, mais un grand malade tel que toi ne ferait pas bon chemin. Si tu cherches à m'inpressioner...

Elle se tut lorsqu'elle eut sentit que Syfer avait commencé les hostilités. Elle sentit un efffet "aimant" avec Syfer, ce qui la fit pousser un petit gémissement de surprise. Dès lors, elle n'eut pas beaucoup de temps et vit que, malgré ce que Syfer esperait son aide, il n'hésiterait pas à lui faire mal pour cela. C'est à ce moment qu'elle réalisa qu'elle ne pouvait s'échapper. Comme dans un moment ou on réalise qu'on ne pourra pas. Il était bien trop superieur à la dragonne. Beaucoup trop. Elle sentait tout à coup moins de rage et de colère, et peu à peu, elle redevenait calme. Cette réaction était normal. Car elle savait qu'il ne fallait pas resistait. Elle sentait qu'elle ne le pouvait pas. Elle ne le voulait pas. Avait-elle le choix? Non. Esperait-elle de l'aide? Non. Cette fois-ci elle sentait peu à peu que le dragon Syfer l'emportait sur elle. Après tout, se mettre au service d'un fou furieux n'était pas si grave que ça.

- Voici une petite démonstration et si j'augmente la dose, l'électricité paralysera ton corps et tu ne pourras même plus ouvrir ta gueule !

Et il ria sadiquement. Il semblait devenir de plus en plus fou. Shirou s'appretait à lui dire qu'elle abbandonnait toute forme de resistance. Quelque chose l'empechait de le dire, et pourtant elle le voulait. Qu'elle était prete à lui obéir. Elle n'eut pas le temps de lui dire car il la coupa.

- J'ai cru mal entendre ma chère et tendre otage, car j'ai un peu les oreilles bouchées pour ta réponse. Alors tu veux bien m'aider s'il te plaît ?

Il échangea son regard contre celui d'un chien qui semblait apeuré, et par la suite augmenta la dose. La dragonne qui ne se sentait pas de lui dire était obligée desormais. Si elle refusait, il allait augmenter, et à la fin, elle ne serait plus qu'un tas d'os. Elle trembla à cause de l'energie produite par Syfer. La douleur était supportable, mais psychologiquement, elle n'en pouvait plus. Son coeur s'accèlera. Elle ne savait pas quoi faire. Elle voulait abolument stopper tout cela, être à ce matin, ou elle s'était levée avec paresse, et avait aimé la journée. Mais elle ne pouvait point revenir en arrière. Ce qui est fait est fait. Inutile de se lamenter sur son sort.

- Ne vous fiez pas aux apparences... Je ne suis pas fou. Comme bon nombre de mes congénères, je ne m'en rends absolument pas compte; ma manière d'être me paraît cohérente et «colle» très bien avec la réalité. Mais le jugement des gens sains d'esprit est pratiquement unanime: je ne puis donc que m'incliner à ce que je suis... un DINGUE !

-Je suis forcée d'accepter.

Son ton était perturbé et angoissé. Tout cela se sentait à ses paroles. La dragonne haïssait Syfer, mais du se plier à sa volontée.